Santé de la femme

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Des probiotiques conçus pour elles

Les probiotiques aident à rééquilibrer la microflore vaginale féminine, qui est un écosystème riche et complexe, composé principalement de lactobacilles qui soutiennent l’environnement et la santé vaginale. Agissant sur le microbiote intestinal ou vaginal, des probiotiques spécifiques peuvent aider chaque femme à chaque étape de sa vie, de la puberté à la ménopause. Les bienfaits des probiotiques pour soutenir la santé des femmes sont de plus en plus reconnus, principalement en raison de leur capacité à maintenir et rétablir l’équilibre de la microflore digestive et vaginale, avec des conséquences positives sur la santé féminine ainsi que sur la santé digestive, le stress occasionnel ou les défenses naturelles. Des solutions innovantes ciblant des affections vaginales spécifiques peuvent désormais être facilement administrées par voie orale.

Santé Canada confirme que ROSELLA peut maintenir un microbiome vaginal sain

L.plantarum ROSELLA, est une souche probiotique pratique administrée par voie orale de Lallemand Health Solutions. Il a été démontré que ce probiotique soutient la santé intime des femmes, ce que confirment les nouvelles indications de Santé Canada, reconnaissant sa capacité à aider à soutenir un microbiome vaginal sain.

Découvrez ROSELLA: un probiotique pratique administré par voie orale qui favorise la santé intime des femmes 

ROSELLA, est une nouvelle souche sous licence hautement documentée pour la santé intime des femmes avec des preuves mécaniques et cliniques complètes d’efficacité sur un large éventail d’avantages, pour aider à maintenir un bon équilibre vaginal par prise orale.

*L. plantarum ROSELLA est L. plantarum P17630 (Proge P17630®), sous licence de PROGE FARM®, Italie.

Dans notre article de blogue, vous apprendrez les 10 raisons pour lesquelles la flore vaginale des femmes a besoin de probiotiques

ROSELLA est une souche unique isolée d’une flore vaginale saine avec des mécanismes d’action prouvés et des études cliniques complètes d’efficacité montrant un large éventail de bénéfices, allant de l’aide au maintien d’un bon équilibre vaginal, y compris par prise orale, à l’utilisation pour la candidose vulvovaginale récurrente (rCVV).

La microflore vaginale féminine est un écosystème riche et complexe, principalement composé de lactobacilles. Ils soutiennent l’environnement vaginal et la santé. Chaque femme rencontre des problèmes de santé et de bien-être spécifiques selon son mode de vie, sa physiologie, ses cycles hormonaux ou son étape de vie. L’équilibre vaginal est fragile, et de nombreux facteurs internes ou externes peuvent affecter cet équilibre : santé intestinale, immunité, équilibre de l’humeur, santé orale, santé intime. Tous ont été liés par les scientifiques au microbiote endogène. Grâce à leur action bénéfique sur le microbiote intestinal ou vaginal, des probiotiques spécifiques peuvent aider chaque femme à chaque étape de sa vie, de la puberté à la ménopause.

Le déséquilibre de la microflore vaginale est causé par des changements dans le nombre de certains types de micro-organismes dans l’environnement vaginal. C’est la cause la plus fréquente d’inconfort vaginal occasionnel chez les femmes âgées de 15 à 44 ans.

Vaginose bactérienne

La vaginose bactérienne est définie comme une dysbiose vaginale caractérisée par une diminution de la concentration de lactobacilles dans le vagin et une augmentation de la concentration de bactéries anaérobies telles que Gardnerella vaginalis, Atopobium vaginae, Mycoplasma hominis, Prevotella, Porphyromonas.

Candidose

La candidose est caractérisée par une prolifération de levures appelées Candida telles que Candida albicans. Trois femmes sur quatre auront un déséquilibre avec une microflore importante de Candida albicans à un moment de leur vie. Un bon équilibre de Candida albicans est un indicateur d’un microbiote vaginal sain.

Inconfort des voies urinaires

Plus de 50 % des femmes auront au moins une gêne occasionnelle des voies urinaires à un moment donné de leur vie. Les femmes ressentent une gêne urinaire jusqu’à 30 fois plus souvent que les hommes.

Récidive : Quatre femmes sur dix qui ressentent une gêne des voies urinaires en ressentiront une autre dans les six mois.